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  • jeudi, mars 06, 2008

    HAUSSMANN (1809-1891)

    Autant que je vous le dise tout de suite, j'ai enfin publié ce 20 juin 2022 un article très complet et détaillé sur l'appartement rue Jouffroy d'Abbans que j'habite depuis presque trente ans, à voir absolument sous le titre Mon appartement...
    Non pas que j'avais spécialement une envie folle de faire cet article, mais d'une part, je l'avais promis à tout le monde, et d'autre part, je l'avais surtout envisagé comme un contrepoint instructif à mon précédent article concernant l'intérieur du castel Béranger d'Hector Guimard, ne serait-ce qu'afin de mieux comprendre à quel point ce fameux castel a pu apparaître à l'époque comme "dérangé", compte tenu de la norme esthétique alors en vigueur, celle du bien connu baron Haussmann...
    Et comme il se trouve que j'habite justement l'un de ces fameux immeubles du XVIIème, en route pour la visite ! À commencer par ce petit détail insolite (mais oui, à l'époque, les architectes n'avaient pas encore honte de signer leurs œuvres !) :
    La plus belle porte en faux chêne du quartier (pas tout à fait chez moi, mais à deux doigts, avec de jolies petites loggias en façade !) :
    Pour ensuite pénétrer dans un hall tout simplement brillant, typique du "grand décorum" en vogue sous le second Empire (il suffit de voir le Palais Garnier) :
    Une fois franchi le premier corps de bâtiment (celui des "riches" qui n'ont qu'un appartement en "U" de 180 m2 !), on pénètre ensuite dans une petite cour intérieure :
    Où là encore, force est de constater, tant au niveau des vitraux que de la petite fontaine, que l'on est bien loin de l'inventivité de Guimard :
    Et voilà, on arrive bientôt dans mon "antre", celui que certains commencent à bien connaître, à force, autrement dit les trois fenêtres du rez-de-chaussée (mais oui, cet article est édité en ce moment même au pied de cette lampe !) :
    Plus qu'un second petit hall à franchir (et là, ce sont les "super-pauvres", qui n'ont plus que 60 m2 à se mettre sous la dent, donc, adieu le marbre !) :
    Et voilà : vous êtes chez Vincenttheone presque pour de vrai, face à son instrument de travail favori (enfin, "travail", ce n'est pas tout à fait le mot, mais bon...) :
    Et comme vous le savez peut-être, j'adore le baroque et les arts décoratifs, ce qui fait que je n'ai pas hésité à en remettre une petite touche, du coup :
    Alors certes, j'ai déjà publié des articles plus passionnants... Mais encore une fois, c'était juste à titre de comparaison avec l'Œuvre d'Hector Guimard, afin de bien se rendre compte du contexte parisien de la fin du XIXème siècle dans lequel elle a pu s'épanouir - contexte très Napoléonien (III), qui sous couvert de luxe et de faste, ne faisait en réalité que surfer sur la vague d'un classicisme à peine voilé...
    Enfin bon. Comme ça, vous connaissez la maison...

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